lundi 17 mars 2008
"Les femmes sont faites pour être aimées, non pour être comprises" (O. Wilde)
Par silphi, lundi 17 mars 2008 à 01:14 :: Pondering
On se demande toujours, à un moment ou à un autre, ce qui fait qu'on est attiré par telle ou telle personne. Alors qu'on sait bien qu'on a des critères, qu'on cherche certaines choses bien particulières chez l'autre. Et toujours, nos beaux modèles sont battus en brèche et il se passe LE truc impensable.
Par contre, il faut bien avouer un truc, c'est que si on cherche bien, on finit toujours pas trouver un point commun, un dénominateur sur lequel se réduisent les fonctions d'onde et qui permet quand même de trouver un modèle. Pour ma part, je suis irrémédiablement attiré par les chieuses. C'est plus fort que moi, j'ai jamais réussi à rester avec une fille qui n'a pas "son petit caractère" comme on dit. Oui, ces jeunes filles un peu princesses, celles qui râlent et font des caprices.
Des filles intellectuellement stimulantes mais invariablement pénibles si on regarde objectivement.
Le fait est que j'en ai discuté avec certains amis, et il semblerait que ce trait soit particulièrement apprécié par mes congénères. Alors, loin de moi l'idée d'en faire une généralité mais, là encore, je m'interroge : pourquoi sommes nous attirés par les chieuses ?
Peut-être faut-il tout d'abord définir le terme. En effet, la frontière entre une fille chieuse et une fille chiante peut être ténue voire impalpable. Selon moi, une chieuse est une jeune fille qui vient exercer des contraintes légères mais permanentes et qui, d'une façon ou d'une autre arrive toujours à s'en sortir avant que ça parte vraiment en sucette avec un sourire, une expression charmante ou un bon mot. Une fille chiante, ne saisit pas cette limite fluctuante (oui parce que la patience est très moment-dépendant aussi...pis j'ai jamais dit que j'étais simple non plus ^^) et ne sent pas le moment où les choses vont trop loin.
Alors, au bout du compte, qu'est-ce qui fait qu'on ne peut pas se contenter d'une jeune fille intellectuellement stimulante, charmante et facile à vivre ? J'ai du mal à m'empêcher de penser que c'est par peur. Peur de s'ennuyer ? Il y a certainement de ça. Une de ces peurs viscérales de ne jamais être le lendemain que le même qu'on était la veille, d'avoir la même vie demain qu'aujourd'hui ? A moins que ce soit, beaucoup plus simplement, pour le fun et toujours ce besoin de ne jamais rien avoir acquis d'avance et pas même sa tranquillité d'esprit ! Car pour avoir beaucoup pratiqué la chieuse (et ce dans toutes ses expressions je crois), il faut bien avouer que ça a souvent été bien fun (bon pour être honnête, parfois c'est avec le recul que c'était marrant, faut pas déconner).
Donc après que certaines d'entre vous aient décrit un idéal masculin comme "poussinou méchant mais plus poussinou que méchant" (copyright camdess), peut-on définir une sorte d'idéal féminin "stimulante, charmante et chieuse mais plus chieuse que chiante" ?
Humeur :
Par contre, il faut bien avouer un truc, c'est que si on cherche bien, on finit toujours pas trouver un point commun, un dénominateur sur lequel se réduisent les fonctions d'onde et qui permet quand même de trouver un modèle. Pour ma part, je suis irrémédiablement attiré par les chieuses. C'est plus fort que moi, j'ai jamais réussi à rester avec une fille qui n'a pas "son petit caractère" comme on dit. Oui, ces jeunes filles un peu princesses, celles qui râlent et font des caprices.
Des filles intellectuellement stimulantes mais invariablement pénibles si on regarde objectivement.
Le fait est que j'en ai discuté avec certains amis, et il semblerait que ce trait soit particulièrement apprécié par mes congénères. Alors, loin de moi l'idée d'en faire une généralité mais, là encore, je m'interroge : pourquoi sommes nous attirés par les chieuses ?
Peut-être faut-il tout d'abord définir le terme. En effet, la frontière entre une fille chieuse et une fille chiante peut être ténue voire impalpable. Selon moi, une chieuse est une jeune fille qui vient exercer des contraintes légères mais permanentes et qui, d'une façon ou d'une autre arrive toujours à s'en sortir avant que ça parte vraiment en sucette avec un sourire, une expression charmante ou un bon mot. Une fille chiante, ne saisit pas cette limite fluctuante (oui parce que la patience est très moment-dépendant aussi...pis j'ai jamais dit que j'étais simple non plus ^^) et ne sent pas le moment où les choses vont trop loin.
Alors, au bout du compte, qu'est-ce qui fait qu'on ne peut pas se contenter d'une jeune fille intellectuellement stimulante, charmante et facile à vivre ? J'ai du mal à m'empêcher de penser que c'est par peur. Peur de s'ennuyer ? Il y a certainement de ça. Une de ces peurs viscérales de ne jamais être le lendemain que le même qu'on était la veille, d'avoir la même vie demain qu'aujourd'hui ? A moins que ce soit, beaucoup plus simplement, pour le fun et toujours ce besoin de ne jamais rien avoir acquis d'avance et pas même sa tranquillité d'esprit ! Car pour avoir beaucoup pratiqué la chieuse (et ce dans toutes ses expressions je crois), il faut bien avouer que ça a souvent été bien fun (bon pour être honnête, parfois c'est avec le recul que c'était marrant, faut pas déconner).
Donc après que certaines d'entre vous aient décrit un idéal masculin comme "poussinou méchant mais plus poussinou que méchant" (copyright camdess), peut-on définir une sorte d'idéal féminin "stimulante, charmante et chieuse mais plus chieuse que chiante" ?

Humeur :